jeudi 1 novembre 2007

Épilogue

Salut tout le monde,

pendant tout mon voyage, j'avais songé intituler mon dernier message: "Un si long voyage!". En fait, ce voyage en Asie n'a été que la continuation d'un très long voyage: le voyage de ma vie. Malgré le fait que mon voyage en Asie se soit terminé en août dernier, je considérais important de vous écrire pour une dernière fois. La première raison est que lors de la rédaction de mon dernier message, je ne me sentait pas très à l'aise de discuter de mon aventure subie durant les 2 dernières semaines de mon voyage; j'aimais mieux en discuter en tête à tête et je me sens maintenant beaucoup plus à l'aise d'en discuter. Et l'autre raison est que je veux clore cette série de message par un message qui porte un meilleur titre que "Sur hold" , car mon voyage en Asie est maintenant officiellement terminé, mon argent officiellement perdue.

Donc, pour vous résumer l'histoire qui m'a amener à contracter une fièvre typhoïde et me faire perdre 27000$ en août dernier, j'ai été pris dans une manigance dès mon arrivée à Jaipur, dans le Rajasthan, le 3 août. En tout, un chauffeur de rickshaw très sympathique m'a proposé de me faire visiter la ville gratuitement. Ne voyant pas ses motifs, et en sachant que plusieurs Indiens sont très accueillants, j'ai décidé de lui faire confiance en me disant que s'il voulait de l'argent en retour à la fin de la visite, j'avais tous les arguments pour bien m'en sortir sans trop discuter. Maintenant, je sais que cet Indien accueille des touristes pour les faire embarquer dans une histoire d'exportation de bijoux très alléchante auprès d'une famille de bijoutiers millionnaires ayant l'air très sérieux dans leurs affaires, en utilisant une manipulation psychologique dans laquelle plusieurs Indiens excellent. Malgré moi, et le fait que je n'avais vraiment aucune intention d'embarquer dans ce genre d'histoire, mais l'instant d'une minute je me suis dit que je pourrais peut-être regretter de manquer une opportunité qui me ferait faire 10000 à 15000$ en 3 jours, sans rien payer, au seul coût de 16 heures d'avion et d'un aller-retour à Paris. J'avais le goût de l'aventure! Et cette minute a été cruciale, car elle m'a pris au piège de cette histoire. Dès le lendemain, j'ai dû livrer un colis de bijoux (on m'a laissé croire qu'il a été livré en tout cas) à mon nom, mon no. de passeport et une signature faisant œuvre d'une fausse déclaration de dédouanage. Dans cette même journée, j'ai voulu débarquer 2 fois et chaque tentative à été vouée à l'échec, le seul compromis étant que je repaie l'équivalent de 7000 euros d'assurance pour les bijoux déjà payée, un billet d'avion pour Paris et l'hôtel à Paris (totalisant environ 12000$ j'estime, plus que mon budget total pour le voyage en entier!). J'étais pris au piège, et complètement à la merci de ces Indiens, toujours suivi, mes bagages généralement en otage, avec pratiquement aucun accès à internet ou au téléphone, et potentiellement un colis à mon nom en attente d'être dédouané. Imaginez-vous un peu dans ma situation: j'ai le choix de continuer et de risquer mon argent en dédouanant le colis (pour être dédouané, il faut pouvoir prouver que j'ai bien acheter l'article, soit 40000$ de bijoux et d'assurances), ou de me sauver et de tenter de quitter le pays avec un colis non-dédouané de 40000$ avec une fausse déclaration portant ma signature. Si je tentais de me sauver de toute cette histoire, je ne savais pas si la police, très corrompue, me viendrait en aide ou me verrait comme coupable de cette affaire et essaierait de me soutirer mon argent ou me mettre en prison, ou si l'ambassade canadienne pourrait faire quelque chose pour m'aider, et si les douanes me poserait la question qui tue: "c'est quoi ce colis?". J'ai donc décidé de risquer mon argent et m'assurer une sortie du pays en sécurité, et peut-être (très hypothétique) faire de l'argent en France. À mon arrivée en France, j'ai passé 5 jours à Paris entre un hôtel Formule 1 et l'aéroport avec la navette gratuite, une fièvre qui ne voulait pas partir, et un maigre 500$ dans mon compte à dépenser 70$/jour. Le colis n'a jamais été totalement dédouané selon ces Indiens et je n'ai jamais pu le récolter bien entendu. J'ai réussi à revenir au pays avec l'argent qui me restait dans mon compte de banque français (environ 230 euros), en trouvant un billet Paris-Montréal extrêmement avantageux qui partait le lendemain pour 220 euros!!! Et en plus, j'avais oublié le NIP depuis le temps. Mais j'ai eu un flash et je m'en suis rappelé le matin de l'achat du billet. Il fallait que je revienne au pays, c'est certain. Je vous dit, je me suis senti comme dans un film pendant toute cette histoire là, y avait tellement de choses pas possibles. J'ai même eu un accident d'auto en allant à l'aéroport de New-Delhi, où l'auto à glissé de côté sur l'autoroute poussée par un camion et toutes les vitres côté conducteurs se sont fracassées. Pour se rendre à temps à l'aéroport pour ne pas manquer mon vol, mon accompagnateur a dû soudoyer un ambulancier pour qu'il m'emporte jusqu'à l'aéroport, avec les gyrophares allumés!

Bon, fini cette histoire là, et malgré la longueur du texte, je vous ai épargné les détails. Passons à autre chose. Ce voyage et cette aventure ont été très révélateurs pour moi, et je peux aisément dire qu'ils ont changé ma vie. Voyager permet de voir le monde avec une autre paire de lunettes, de briser des paradigmes profondément ancrés en dedans de soi. On dit souvent qu'il y a les gens qui détestent l'Inde, et ceux comme moi qui en sont tombés amoureux. Eh bien, je crois que je connais une des réponse à cette différence marquée. L'Inde, aux yeux d'occidentaux est un pays très pauvre, l'un des plus pauvres sur la planète. On y voit beaucoup de mendicité, de pauvreté, notamment dans les grosses villes. Certaines personnes vont voir uniquement cette pauvreté, cette misère apparente et l'attitude déplorable des gens aisés face aux gens pauvres.  D'autres, comme moi, vont voir le sourire et le bonheur de vivre de ces personnes pauvres, et l'ignorance de ces gens aisés de par le fait qu'ils se croient meilleurs par leur aisance et leurs propriétés matérielle. À un tel point que je dirais que j'ai cru que ces gens pauvres puissent être parfois plus heureux que l'occidental moyen. En fait, je vous dit ceci, car la plus grande révélation de mon voyage a été que le bonheur ne s'achète pas, mais qu'il se cultive. Je crois que la plupart d'entre vous soit d'accord pour dire que les biens matériels et l'argent, et même les évènements n'amènent pas le bonheur. On peut être malheureux face à un évènement heureux, ou être heureux face à une souffrance, tout dépend de la manière dont on voit l'évènement. J'ai perdu 27000$ (24000$ maintenant, Desjardins a repayé une partie), so what?, je suis encore en vie, et en ne me positionnant pas comme une victime, cet évènement m'a amené à grandir et à m'ouvrir les yeux sur une autre réalité au cours des 2 derniers mois. Je peux vous dire consciemment et avec toute certitude que je suis en paix avec le fait que cette mésaventure en Inde me soit arrivée. Une citation de Gandhi résume vraiment bien ma vision actuelle des choses: "Vos croyances engendrent vos pensées, vos pensées engendrent vos paroles, vos paroles engendrent vos gestes, vos gestes engendrent vos habitudes, vos habitudes engendrent vos valeurs et vos valeurs engendrent votre destin". Tout cela pour dire que le responsable de notre destin n'est pas une multitude d'évènements extérieurs généralement incontrôlés comme on a souvent tendance à le croire, mais qu'il n'y a qu'un seul responsable de notre vie et notre destin, et ce responsable c'est nous-même par la façon dont nous percevons les évènements. Nos paradigmes forment nos croyances, qui sont les seuls coupables de notre destiné, et il y a des moyens de les changer.

Bon, c'est la fin d'un long message qui termine une longue série, qui aurait été encore plus longue si tout s'était passé comme prévu. Et ne vous inquiétez pas, il y en aura d'autres, car la Chine, le Japon et la Mongolie ne sont que reportés pour un autre voyage à l'autre bout du monde. Profitez de ce si beau voyage que nous offre la vie!


Note: Maintenant que je relis mes messages, en 2018, je peux affirmer que l'année 2007 reste une année très marquante dans ma vie. Ce fut une grande année de découverte et de bonheur, terminée par une grande déception, mais qui m'a fait grandir d'une certaine façon. C'est généralement par l'adversité qu'on progresse dans la vie...

Quelques années après toutes ces péripéties, je suis tombé par hasard sur un article dans le journal Le Soleil qui décrit une arnaque très similaire à celle que j'ai vécue en Inde:

https://www.lesoleil.com/archives/un-quebecois-pris-dans-un-piege-a-voyageurs-en-inde-48ba1b5f16635f0cd6ad0faae663f0d4

lundi 17 septembre 2007

Sur hold...

Salut tout le monde,

si vous avez remarqué, j'ai pas utilisé "namaste", ou "salaam" ou n'importe quel autre salutation d'un pays ou je pourrais être en Asie en ce moment, comme ça le devrait. Malheureusement, si vous vous souvenez de mon dernier mail, je disais que j'enverrais un mail bientôt pour vous dire dans quel nouveau pays je serais, et bien ce nouveau pays, au-lieu de la Chine et de la Mongolie comme prévues, est le Canada pour l'instant. Pendant la rédaction de mon dernier mail, je vivais depuis une dizaine de jours l'histoire la plus abracadabrante et la plus stressante de ma vie, et je ne voulais pas en glisser un mot tout de suite pour des raisons de sécurité. Je suis revenu au Canada le 24 août avec une fièvre typhoïde et j'ai dû être hospitalisé près d'une semaine. Maintenant, la santé est revenu, mais j'ai perdu énormément d'argent dans cette histoire, et je ne peux pour l'instant pas continuer mon voyage qui devait durer jusqu'au 16 décembre.

Ne vous inquiétez pas sur moi, la santé est revenu à merveille, le moral est fort, et je suis confiant de retrouver mon argent perdu. Je découvre des choses que je n'aurais probablement pas découvert en voyage, et j'en fais d'autre que je voulais faire mais sans prendre le temps nécessaire. Et dès que je retrouve mon argent, j'achète le premier aller-simple disponible pour Beijing, pour finir mon trip d'un an et revenir le 10 janvier prochain.

Dans le dernier update, j'avais dit que je dirais ce qui s'était passé au courant des derniers jours. Je pense que c'est le seul mail où j'ai l'occasion de le faire, alors voilà. Après avoir quitté Bundi, je suis retourné à Jaipur (ville rose) pour repartir immédiatement en direction de Jodhpur, la ville bleue du Rajasthan. Pour vous rafraîchir la mémoire, le Rajasthan est un désert qui dégage des couleurs généralement arides. Cependant, il s'agit d'un endroit extrêmement coloré, premièrement par ses habitants qui portent des turbans de toutes les couleurs pour les hommes, et des saris aux couleurs flash avec des bijoux partout sur le corps pour les femmes. Les villes sont également très colorés, ainsi que les marchés d'épices. Et pour vous donner une idée, le paon (tsé l'oiseau avec une grosse queue colorée qu'il ouvre pour séduire le sexe opposé), que j'ai observé à l'état sauvage à plusieurs reprises, est l'animal national du pays. Donc Jodhpur, ville bleue, est très très bleue depuis le gigantesque fort qui surplombe la cité. Et le fort, wow! Quelle ville!

Jodhpur, autre ville bleue du Rajasthan avec son fort






Marché à Jodhpur


Mes vêtements fittaient à merveille avec la couleur de la ville!


Je ne me suis jamais tanné des dromadaires qui se promènent dans les villes du Rajasthan
J'ai quitté la place prématurément, où j'aurais passé facilement 3 jours, mais où les circonstances m'empêchaient d'y séjourner plus longtemps. Je suis parti pour Jaisalmer, une véritable cité du désert. Jaisalmer est la cité dorée, qui entoure également un magnifique fort. La ville semble sortir de nulle part, et c'est probablement la ville la plus belle que j'ai vue en Inde, avec tous ses édifices ornés de sculptures minutieusement taillées directement dans la pierre, et toutes ses ruelles qui laissent place à l'exploration.

Jaisalmer, la cité dorée du Rajasthan, véritable cité du désert

Promenade dans Jaisalmer



J'ai l'impression que les saris étaient encore plus colorés au Rajasthan que dans le reste de l'Inde!



Le détail qu'il y a dans l'architecture de la ville est impressionnant!




Pendant une visite sur un site près de Jaisalmer
De là, j'ai fait une expédition dans le désert à dos de dromadaireavec un Indien de mon âge, également nouvel ingénieur. Le dromadaire m'a roté dans face pendant trois jours, et je peux vous dire qu'il n'a pas très bonne haleine. On a passé par des petits villages du désert et dormis dans des dunes de sables, à manger du sable et à respirer du sable. C'était vraiment cool malgré tout, une super belle expérience malgré l'incomfort total d'être sur un dromadaire à respirer ses rots pendant si longtemps.

Prêts à partir à dos de dromadaire


Petite pause pour le lunch



Les dung beetles ont accompagné mon quotidien pendant mon séjour dans le désert, à faire des boules avec les crottes de nos dromadaires et à se battre entre eux pour conserver le prix de leur dur labeur...

Quelques enfants rencontrés dans le désert



Le site de notre première nuit, à la belle étoile.



Le site de notre deuxième nuit, également à la belle étoile

Notre site, le lendemain matin. Est-ce que j'ai besoin de mentionner qu'on n'a pas très bien dormi cette nuit là, à même le sol, avec le vent qui faisait lever le sable et qui nous en a mis plein le visage...
Ensuite, j'ai vécu à l'Indienne pendant 2-3 jours à vivre dans des familles villageoises dans des endroits où à peu près aucun touriste n'a posé le pied. C'est pas le Taj Mahal qui revient en premier en repensant à ce pays qui m'a fait tellement vibrer, c'est le contact réel avec des gens sans aucune prétention, des vrais gens riches du cœur. L'Inde est venu me chercher très loin à l'intérieur de moi-même, comme on dit ça m'a pogné dans les trippes. Avant de partir en Inde, on me disait: "l'Inde ne laisse personne indifférent". Sentant que l'Asie du sud-est n'avait à peu près qu'affecté ma débrouillardise plutôt que ma personne, je me disais:"on verra". Le but de mon voyage étant avant tout de changer, j'ai été servi en Inde, et je vous garantie qu'elle ne laisse personne indifférent. Soit on la déteste ou on l'adore (généralement les deux à la fois en fait), mais on se sent défié à l'intérieur de nous-même presque constamment. Pour vous dire, sauf ce reste de voyage, qui n'est pas un nouveau voyage en réalité, je veux retourner en Inde pour mon prochain voyage et y passer quelques mois pour découvrir le reste du pays. Et je le ferai.


C'est le contact avec les Indiens qui m'a malgré tout le plus allumé en Inde, pour le meilleur et pour le pire... 


Sur cette photo, le gars à droite était tellement fier de me vendre une bouteille de shampooing qu'il voulait qu'on se prenne en photo...
Bon, jusqu'à mon prochain update (j'espère bien qu'il y en aura un) en Chine.

Mon trajet, pendant mon voyage en Inde

Mon trajet, pendant mon voyage en Asie du Sud-Est

mardi 14 août 2007

Les gens riches en Inde

Namaste,

dernièrement, j'ai vu un autre côté de l'Inde, celui des gens riches. J'ai été invité par une famille multi-millionnaire indienne à souper dans un hôtel de luxe et à danser dans un club toute la nuit. Disons que ça change pas mal de ce que j'avais vu de l'Inde à date, qui est majoritairement pauvre financièrement avec une partie de la population dans la classe moyenne. Mais cette expérience m'a en quelque sorte ouvert les yeux; ça fait plus de 7 mois que je suis partie et que je côtoie des gens défavorisés dans les villes et villages, et la rencontre avec la classe riche a été dans ce sens assez incomfortable. Quand on pense à tout le luxe qu'ils peuvent s'offrir et que généralement ils ne pensent qu'au temps et à l'argent, ça fait un peu mal au coeur... Ils vivent vraiment dans un autre monde que celui de l'Inde que je connaissais jusqu'à présent. À un tel point qu'à mon contact à nouveau avec des enfants d'un village qui ne demandaient incessamment que de l'argent, des crayons ou du chocolat (ceux qui me tapent sur les nerfs généralement), et bien je n'avait qu'une pensée en tête en voyant leurs sourires fendus jusqu'au yeux: "la vraie richesse ne vient pas du porte-monnaie, mais bien plus du coeur et de l'âme".

Les enfants de ce village m'ont redonné le sourire, alors que je côtoie de riches Indiens



Ça fait un bout de temps que j'ai rien écrit, et j'en ai beaucoup à écrire, je vais donc vous écrire mes aventures des derniers jours dans un prochain E-mail que j'enverrai bientôt. Mais depuis le dernier E-mail, eh bien je suis tombé malade d'un coup de chaleur à Amritsar à cause du changement climatique brusque vers les 35-40 degrés après près de 2 mois dans les montagnes. Je n'ai malheureusement pas pu profiter autant de la place que j'aurais voulu, mais j'ai quand même fait l'essentiel de ce que je voulais y faire, c'est à dire passer du temps au temple d'or et aller voir la fermeture de la frontière indo-pakistanaise. Il y a une célébration chaque soir entre les soldats indiens et pakistanais, et c'était drôle a voir.

Le temple d'or, à Amritsar





Le rituel autour de la fermeture de la frontière indo-pakistanaise, qui est un peu étrange, mais assez comique!


Ensuite, j'ai passé quelques jours à Delhi en attente de mon visa pour le prochain pays où je vais passer (vous verrai lequel dans quelques jours) et à me rétablir complètement de mon coup de chaleur.

J'ai visité quelques autres sites intéressants pendant l'attente de mon visa, à Delhi




Cette colonne est faite de fer datant du 3e ou 4e siècle ap. J-C. Elle fascine les archéologues et metallurgistes, car elle n'a pratiquement pas rouillée pendant tout ce temps.



Les Indiens aiment se faire prendre en photo!


Le temple du lotus de Delhi. Le site est intéressant, car il est un temple ouvert à la pratique de toutes les religions.
J'ai ensuite commencé mon périple vers le Rajasthan. Le Rajasthan est en fait situé en partie dans le désert de Thar, mais est incroyablement coloré. Toutes les femmes portent des saris aux couleurs pétantes, et les villes sont souvent colorées également. J'ai donc débuté par la ville rose de Jaipur. Il s'agit d'une capitale bruyante et poussiéreuse, avec des cochons, des vaches, des éléphants et beaucoup de dromadaires qui se promènent parmi les voitures, les rickshaws et les gens. Malgré tout, elle possède une architecture impressionnante et fût intéressante à visiter.

De retour dans le bordel indien, à Jaipur

Quelques bâtiments témoignent du statut de ville rose de Jaipur




Visite de l'ancien palais d'un Maharaja


Un autre palais


C'est la mousson en Inde!
 J'ai également passer a Bundi, une magnifique petite ville bleue paysible de laquelle surplombe le fort d'un maharaja. Bundi est vraiment une place superbe que j'ai adoré, et la vue sur la ville depuis le fort est magique.

La très charmante petite ville bleue de Bundi


Visite du palais de Bundi




Vue sur la ville de Bunet son palais





Mon périple a continué depuis, mais je vous enverrai les détails dans mon prochain update.

Mon trajet en Inde, jusqu'à présent.